L’école étant enfin terminée, c’était ce grand jour. Celui où je partais en voyage ! Cette année là, nous avions choisi comme destination Biarritz. Je n’étais encore jamais partie aussi loin et j’avais hâte d’être arrivée. Mes parents et moi-même montâmes dans le T.G.V qui devait nous conduire là-bas. L’intérieur était luxueux mais sombre malgré les nombreuses lumières qui ornaient les murs. Je passais le trajet sur l’un des fauteuils bleu nuit et malgré les magazines présents dans mon sac, je préférais regarder défiler la campagne par la fenêtre. Puis nous arrivâmes à la gare où nous prîmes un taxi jusqu’à notre hôtel. Nous y déposâmes nos bagages et sortîmes nous balader en ville.
Dehors la foule était dense. Le soleil était tellement éblouissant que j’avais du mal à lever les yeux. Ainsi, je me concentrais sur les pieds des gens qui trépignaient et bavardaient devant les boutiques les plus populaires d’où s’échappait une odeur de vacances. Devant leur porte – et j’ignorais encore pourquoi- certains habitants avaient déposé des cordes et des chaises, d’ailleurs certaines d’entre elle avaient été renversées par je ne sais quel passant irrespectueux, ou par le vent…mais cette suggestion me semblait moins plausible étant donné le temps magnifique qui régnait depuis mon arrivée. A force d’observer la rue, je n’avais même pas remarqué le spectacle magnifique qui s’étendait à perte de vue. étant enfin terminée, c’était ce grand jour. Celui où je partais en voyage ! Cette année là, nous avions choisi comme destination Biarritz. Je n’étais encore jamais partie aussi loin et j’avais hâte d’être arrivée. Mes parents et moi-même montâmes dans le T.G.V qui devait nous conduire là-bas. L’intérieur était luxueux mais sombre malgré les nombreuses lumières qui ornaient les murs. Je passais le trajet sur l’un des fauteuils bleu nuit et malgré les magazines présents dans mon sac, je préférais regarder défiler la campagne par la fenêtre. Puis nous arrivâmes à la gare où nous prîmes un taxi jusqu’à notre hôtel. Nous y déposâmes nos bagages et sortîmes nous balader en ville.
Alors je levais les yeux vers ce véritable paysage de carte postale. Cette plage était somptueuse ! Le sable était si fin, la mer si bleue et le soleil si rayonnant que tout cela avait l’air irréel.
Ce furent mes plus belles vacances.
Margaux, 4C, 2012