Ho ! Je me réveille en sursaut. Je n’étais pas dans mon lit, ni dans celui d’un autre. J’étais dans le train. Oui, dans le train. Je me rendais chez ma tante en Bretagne. Enfin, Elle était morte, depuis peu. Je me rendais donc dans sa maison, près de Brest, en bordure de mer. C’est moi qui avais hérité. Car j’étais la seule restante de la famille. J’ai trente a

ns, je m’appelle Elisa Swan. Mes parents sont morts dans une collision de train, j’avais 4 ans, je n’ai plus le souvenir d’eux. J’ai vécu chez ma grand-mère jusque mes 16 ans. Bref j’habitais Paris. J’ai pris le train : Paris-Brest. Je regardais par la fenêtre, on ne devait plus être loin du Finistère. Puis (environ 1 heure après) le train arriva.
Enfin ! Trois notaires associés m’attendaient. Ces trois « Drôles de Dames » avait l’air sévère. La première -celle avec le sac rouge- me dit : «Bonjour je suis Marie-AglaéD
e la Cloche Sur Pilate, voici mes associés Mesdames De la Roche
Noué sur Foucault, toutes deux sœurs. Allons chez votre tante, Mlle Swan. » dans le train. Oui, dans le train. Je me rendais chez ma tante en Bretagne. Enfin, Elle était morte, depuis peu. Je me rendai
s donc dans sa maison, près de Brest, en bordure de mer. C’est moi qui avais hérité. Car j’étais la seule restante de la famille. J’ai trente ans, je m’appelle Elisa Swan. Mes parents sont morts dans une collision de train, j’avais 4 ans, je n’ai plus le souvenir d’eux. J’ai vécu chez ma grand-mère jusque mes 16 ans. Bref j’habitais Paris.J’ai pris le train : Paris-Brest. Je
regardais par la fenêtre, on ne devait plus être loin du Finistère. Puis (environ une heure après) le train arriva
Nous y arrivâmes deux heures plus tard. C’était comme dans mon souvenir : la vieille maison au bord de la mer, la falaise, l’eau de mer toujours aussi lointaine et violente. Quand nous arrivons, la porte d’entrée est ouverte. A côté il y avait une corde et une chaise qui était parterre. « A vous Mlle Swan » me dit la dame avec le sac rouge. Je m’avançais dans le couloir un cambrioleur armé m’attendait. Il me tira dans la poitrine…
J’entendis une sonnerie, celle d’un téléphone. J’étais vivante, ce n’était qu’un rêve. Je me
Ma vie est-elle un cercle vicieux ?? réveillais ruisselante de sueur et morte d’angoisse. Pour le téléphone c’était trop tard. Je me contentais du message. On m’annonça que ma tante qui habitait près de Brest était décédée.
Théo, 4C, 2012