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21 octobre 2015 3 21 /10 /octobre /2015 15:11

Dans sa grande demeure, Mme Lefèvre vivait tranquillement, avec Rose, son employée. Quand elle finissait de préparer le repas, Mme Lefèvre se joignait à elle et elles mangeaient en échangeant quelques banalités. L’après-midi, Rose avait quelques tâches ménagères à faire puis, souvent, elle était libre. Elle appréciait de se rendre au marché dans la petite ville voisine où les gens étaient bien sympathiques. Elle allait parfois aider la propriétaire d’une petite animalerie de la ville à s’occuper des animaux. Elles étaient de bonnes amies et Rose adorait s’occuper des bêtes alors cela lui convenait même si elle le faisait gratuitement.

Mme Lefèvre, quant à elle, occupait la plupart de son temps à inviter ses amies qui, toutes polies et bien élevées, savaient ce que représentait l’argent et ne le dépensait que parcimonieusement et si cela valait vraiment le coup. Mme Lefèvre ne se rendait pas souvent en ville, préférant que Rose s’occupe de ça car là-bas, les gens n’étaient pas tous comme ses amies et cela l’horrifiait. Elle appréciait Rose malgré son statut de bonne car elle ne se plaignait jamais et ne demandait jamais d’augmentations. Mme Lefèvre n’avait pas d’enfants et ne comptait pas en avoir de sitôt. D’ailleurs elle était veuve et ne s’était jamais remariée. C’est vrai que sa grande maison vide la déprimait parfois, mais élever des enfants bruyants et chahuteurs ne l’enchantait guère.

En somme, Mme Lefèvre et son employée menaient une petite vie tranquille. Le soin du potager où elles cultivaient toutes sortes de légumes étaient pour elles deux une activité favorite qu’elles aimaient faire ensemble. Les plates-bandes de poireaux, d’oignons, de choux ou de potirons faisaient leur fierté commune.

Or, une nuit, …

Emma, 4 D

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21 octobre 2015 3 21 /10 /octobre /2015 14:42

Mme Lefèvre, une grosse dame rousse à la peau tannée par le grand air, était veuve de très longue date. Elle avait une petite maison en campagne qu’elle occupait avec Rose, sa servante. Celle-ci était une jeune fille toute simple qui ne demandait rien, ou presque. Elle était même d’une simplicité exemplaire : taille moyenne, pas très grande, ses yeux et ses cheveux étaient marron foncé, presque noirs. Sa peau, tout aussi tannée que celle de sa maîtresse, si ce n’est plus, mettait en valeur la noirceur de ses yeux.

Leur maison, aussi petite soit elle, était pourtant belle. Rose et Mme Lefèvre l’entretenaient dans la joie et la bonne humeur, avec amour et dévotion. Toutes deux en prenaient le plus grand soin durant les longues journées d’été et les journées plus courtes de l’hiver.

Quand elles ne travaillaient pas dans la maison, elles étaient dehors, dans le jardin, à cultiver leur terre. Leur potager_ qu’elles arrangeaient bien souvent grâce à l’argent qu’il rapportait mais aussi au gré de leurs humeurs diverses et variées, du temps qu’il faisait _ grâce à tout cela donc, leur potager était d’une beauté indéniablement remarquable depuis le chemin de terre bordant leur petit terrain.

L’argent que rapportait la vente des légumes de ce potager permettait même aux deux femmes de mener une vie assez aisée par rapport aux paysans des alentours auxquels elles vendaient leurs fleurs, fruits et légumes au marché les lundis, mercredis et vendredis. Parfois, elles allaient flâner en ville et acheter, après de longues discussions car Mme Lefèvre était très économe, les babioles dont elles avaient envie.

Or, une nuit, …

Camille, 4A

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21 octobre 2015 3 21 /10 /octobre /2015 11:18

Mme Lefèvre était une riche veuve de Normandie. Elle vivait dans une jolie maison avec sa servante, Rose. Elles étaient amies. Rose et Mme Lefèvre cultivaient des légumes dans le potager derrière la maison. Elles y travaillaient chaque jour et obtenaient de bons résultats. Les jours et les nuits s’écoulaient ainsi, Mme Lefèvre et Rose travaillaient dur mais cela leur semblait normal. Comme elles vivaient dans la campagne près d'une ville, parfois elles y allaient faire quelques achats de nourriture. C’était une ville médiévale, les habitations étaient regroupées et entourées de champs, les rues s’animaient parfois lors des marchés de viande, de tissus et plein d’autres choses. Mais Rose et Mme Lefèvre dépensaient parcimonieusement même si Madame Lefèvre était riche. Les deux femmes pensaient qu'elles étaient bien et tranquilles grâce à la vente de légumes aux gens du village et de la campagne. Mme Lefèvre s'habillait avec coquetterie sans trop dépenser cependant mais Rose, qui était sa servante, était toujours en tenue de servante, avec coiffe et tablier.

Quand la nuit tombait, toutes les lumières s'éteignaient, la campagne et la ville s’endormaient. Le village n'avait jamais entendu de voleurs alors nul ne pensait à laisser son chien dehors. La nuit était le moment le plus calme du village, les animaux nocturnes sortaient de leur cachette pour se chercher la nourriture...Les étoiles brillaient et le bruit du vent faisait un concert formidable. Personne n’était réveillé, sauf les animaux nocturnes. Le jardin de Mme Lefèvre était bien protégé par grille et clôture. Non loin du village et de la maison du Mme Lefèvre se trouvait un trou, pas un trou normal bien sûr ! Un trou si profond que personne ne peut y voir la lumière du soleil pendant le jour. C’était une mine de marne. Les paysans jetaient parfois leur chien dedans pour ne pas payer les taxes ou parce que l’animal était trop vieux. Les paysans ne parlaient jamais de ce trou si effrayant et sombre.

Une nuit, Rose s’était levée pour prendre du l'eau car elle avait soif, mais elle eut le sentiment que quelque chose observait le jardin de Mme Lefèvre. Elle regarda par la fenêtre pour voir s’il y avait des animaux ou bien des paysans qui essayaient d'entrer. Rien, rien n’était visible! Seules la lune et les étoiles brillaient. Elle tourna le dos et remonta dans sa chambre. Elle regarda la fenêtre encore… Le lendemain, tout était normal, le surlendemain aussi. Rose et Mme Lefèvre étaient rassurées.
Or, une nuit, [...]

Rebekka, 4D

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19 octobre 2015 1 19 /10 /octobre /2015 15:24

Mme Lefèvre était une dame veuve, elle vivait à la campagne au XIXème siècle en Normandie. Elle avait comme servante, Rose. La servante était très aimable et souriante. Ces deux femmes habitaient dans une petite masure. Mme Lefèvre était assez âgée et pauvre. Elle possédait un petit potager juste derrière sa maison où elle cultivait des haricots, des oignons, des pommes de terre … Tout le village la connaissait, Mme Lefèvre y vendait quelques légumes de son potager pour récolter de l’argent pour se nourrir. En plus de la charge de sa gouvernante, elle devait payer une pension tous les mois à son fils qui habitait en Espagne.

Ce mardi 27 mars, il faisait beau, chaud et ensoleillé pour un soir de printemps. Comme tous les jours, sauf le jeudi et le dimanche, Mme Lefèvre et Rose allaient au marché nocturne vendre des légumes qu’elles avaient ramassés le matin. Un jeune homme leur demanda douze oignons pour préparer un grand repas de famille. Mme Lefèvre n’avait que sept oignons. Elle lui proposa ses sept oignons plus quelques autres légumes. Mais il refusa et il repartit, son sac vide. Cette nuit-là, Mme Lefèvre entendit un bruit qui se répétait. Elle crut que c’étaient ses voisins qui avaient encore bu trop d’alcool et tapaient sur les murs pour se défouler. Pas inquiète, elle se rallongea dans son lit et se rendormit calmement. Le lendemain, tout se passa comme de coutume et les jours qui suivirent aussi.

Or, une nuit, …

Noémie 4D 16/10/2015

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19 octobre 2015 1 19 /10 /octobre /2015 14:32

Dans un village vivait Mme Lefévre, une dame bien gentille mais un peu avare. Elle était à la retraite, elle était veuve, son mari était mort à la guerre. Elle avait eu bien du chagrin et pour oublier tout cela, elle passait ses journées dans son jardin à cultiver toutes sortes de légumes, oignons, tomates, carottes...

Sa servante, Rose, était une femme très généreuse. Son mari aussi était mort pendant la guerre. La disparition tragique de leur époux avait rendu les deux femmes complices. Chaque jour, elles besognaient dur ensemble dans le potager et celui-ci devenait luxuriant. Pourtant, jamais il n'y avait eu ni renard ni larron pour voler leurs légumes, pas même les voisins.

Or un jour Mme Lefèvre entendit dire que le boulanger avait été volé dans la nuit. Ce n'était pas un animal, mais bien un humain qui avait causé ce larcin. Mme Lefèvre et Rose étaient atterrées, stupéfaites ! Elles se demandaient qui avait fait cette chose horrible. Elle avaient peur que cela se reproduise dans le village , alors elles décidèrent de surveiller toute la nuit leur potager. Mais elles ne virent aucun voleur et elles finirent par renoncer : ça ne servait pas à grand chose de rester à sa fenêtre pour guetter la venue d'un voleur.

Or, une nuit, …

Léa H, 4A, 15 octobre 2015

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19 octobre 2015 1 19 /10 /octobre /2015 12:59

Dans un petit village nommé Rolleville on trouvait une rangée de masures dispersées à travers champs, toutes accessibles par une petite route longeant les maisons. La plupart des habitants de ce village étaient des paysans travaillant dur pour nourrir leurs nombreux enfants. Ils possédaient quelques champs pour cultiver leurs produits. La terre était inféconde, peu de choses y poussaient malgré tous les efforts des paysans besognant dur sur leurs terres. À Rolleville, des petits commerces s’étaient installés comme l’épicerie, la boulangerie et il y avait un cantonnier pour s’occuper des routes de Rolleville. Les habitants du village se retrouvaient chaque dimanche à l’occasion du marché mais certains préféraient y envoyer leur servante. Le village paraissait calme or il y avait de plus en plus de vols, ce qui inquiétait la plupart des habitants.

Au milieu de toutes ces maisons se trouvaient une masure de taille moyenne appartenant à une certaine Mme Lefèvre qui y vivait avec sa servante Rose, très serviable et dévouée à Mme Lefèvre. Cette dernière comptait chaque sou qu’elle dépensait. Ses voisins étaient presque aussi économes qu’elle et rechignaient à dépenser chaque sou de leur poche. Rose et Mme Lefèvre avaient coutume de stocker les légumes qu’elles cultivaient dans un appentis au fond de leur potager. Elles ne sétaient jamais souciées de savoir si l’ endroit était accessible aux voleurs.

Or, une nuit, …

Evaëlle 4 A, 15/10/2015.

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19 octobre 2015 1 19 /10 /octobre /2015 12:39

Madame Lefèvre était une dame assez âgée mais pas trop, elle vivait seule dans une grande maison en bois. Elle avait pour l'aider une jeune femme prénommée Rose à qui elle versait une rente régulièrement, chaque année. Rose était une jeune femme et avait beaucoup d'idées pour améliorer le quotidien de madame Lefèvre. Elle faisait très bien son travail auprès de madame, même si parfois elle était un peu sotte et maladroite. Madame Lefèvre l'appréciait beaucoup et ne se voyait pas passer le reste de sa vie sans Rose.

Madame Lefèvre ne gagnait plus beaucoup d'argent puisqu'elle ne travaillait pas mais n'était pas pauvre pour autant, bien au contraire. Elle ne jetait jamais son argent par les fenêtres, elle était très raisonnable.

Elle avait un très grand jardin, c'est d'ailleurs dans celui-ci que madame Lefèvre passait la plupart de ses journées. Elle en prenait très grand soin. C'était comme son centre d'intérêt. Dans ce fameux jardin, il y avait beaucoup de légumes, des pommes de terre, des oignons, des radis et plein d'autres encore. Au fur et à mesure que madame tirait ses légumes de la terre, elle les mettait dans une très grande caisse rouge, qu'elle mettait ensuite à l'abri dans son appentis pour pouvoir faire ses soupes de légumes pendant l’hiver. Madame Lefèvre tenait beaucoup à ses légumes et cela, Rose l'avait bien compris.

Or, une nuit,

Justine, 4A, 15 octobre 2015

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17 octobre 2015 6 17 /10 /octobre /2015 13:47

Cette histoire se passe au XIXème siècle, à Bristol en Angleterre. C’est là que Madame Lefèvre habitait, dans une vieille masure du XVIIème siècle.

Madame Lefèvre était veuve et, malgré une rente considérable, elle était toujours près de ses sous, dépensant parcimonieusement. Elle vivait seule avec sa gouvernante Rose. Madame Lefèvre était toujours habillée d’une jupe de laine, d’un gilet de coton et de sabots pour aller à son jardin, où elle cultivait plusieurs légumes. Quelquefois dans la journée, elle se rendait au port pour admirer les bateaux et raconter des potins avec les dames du village. Le soir elle mangeait souvent dehors face à la verdure de la forêt qui l’entourait.

Au lever du jour, chaque jeudi en ouvrant ses volets, elle respirait le grand air en disant bonjour aux passants matinaux, pour ensuite descendre rapidement déjeuner, s’habiller et chercher sa rente de deux cent francs chez le notaire, comme chaque semaine. Après être rentrée, elle se rendait à son potager pour y arroser ses légumes. « Midi c’est l’heure du déjeuner ! » Rose avait tout préparé, et comme à chaque repas, c’était délicieux. Quand le soir arrivait, Madame Lefèvre allait se coucher pour passer une nuit paisible.

Or, une nuit, …

Maïna 4D

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17 octobre 2015 6 17 /10 /octobre /2015 13:22

Mme Lefèvre habitait une ferme près d’un bois en Normandie. C’était une vieille dame assez forte. Elle portait souvent des robes longues et noires depuis la mort de son mari décédé quelques années auparavant en tombant d’un cheval. Depuis ce temps, elle vivait de son travail et économisait le moindre sou. Au début, des voisins venaient l’aider pour les récoltes mais au bout de quelques mois, ils venaient de plus en plus rarement. Elle avait vécu seule pendant quelques temps. Mais, elle n’arrivait pas à faire tout le travail de la ferme elle-même.

Un jour, alors qu’elle s’occupait de ses animaux, une jeune femme était passée lui demander du travail. En y pensant, elle trouvait que cette aide lui serait très utile même si la dépense la tourmentait. Elle avait donc décidé de lui proposer d’être sa servante. Cette jeune fille s’appelait Rose et venait d’un village voisin. Elle était très pauvre et voulait travailler pour pouvoir se nourrir. Après quelques semaines à la ferme, Rose s’était habituée à s’occuper des animaux, à faire le ménage et à travailler dans les champs avec sa patronne. Depuis son arrivée, Mme Lefèvre avait même pu créer un potager derrière la maison et ensemble, elles semaient, plantaient, binaient, toutes sortes de légumes : courges, pommes de terre, bettes, épinards, poireaux, oignons, … Elles travaillaient beaucoup.

Pendant que Rose s’occupait des animaux à la ferme, Mme Lefèvre en profitait pour aller vendre leurs légumes, les œufs et quelques animaux au marché du village chaque semaine.

Après la récolte, à la fin de l’été, Madame Lefèvre avait demandé à Rose de préparer des légumes et de tuer quelques animaux pour les vendre au marché de la St Michel au village. Rose avait donc récolté les oignons et les avait mis à sécher au soleil.

Or une nuit, …

Coralie, 4D

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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 21:43

La vie de Rose était une vie simple. Elle s'occupait beaucoup des autres. Elle allait tous les jours prendre soins des enfants recueillis à l'orphelinat de son village. Elle préparait leurs repas, lavait leur linge. Elle était très appliquée, gentille et sensible. Rose ne supportait ni la méchanceté ni l’injustice.
Parfois, elle prenait du temps avec l'un ou l'autre des enfants pour jouer, lui lire une histoire. Elle était un peu comme leur maman. Elle accomplissait toutes ces choses en plus de tout le travail que Madame Lefèvre, sa patronne, lui demandait de faire.
Un jour, elle eut une idée afin d'occuper les enfants. Avec l'accord de Madame Lefèvre, Rose entreprit de créer un jardin potager dans le champ à côté de leur maison derrière un petit mur.
Tous les enfants aidèrent avec entrain à enlever les ronces et préparer la terre. Rose, quant à elle, coupa les branches gênantes. Petit à petit, le jardin prenait forme. Par ici, des rangées de poireaux, par là, des carottes poussaient aisément.
La plus grande fierté des enfants et de Rose étaient les oignons. Ils étaient bien gros, tout jaunes. Rose n’avait qu'une hâte : les cuisiner.

Or, une nuit, …

Erwan, 4D

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