="fr"> sur une ile en plein pacifique - Libellulus
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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 21:30

Depuis que notre avion s’est écrasé sur cette île inconnue du Pacifique, tout le monde s’affole. Les deux pilotes de l’avion sont malheureusement décédés mais aucun blessé grave n’est à déplorer dans notre groupe de jeunes ! Au total, nous sommes trente-deux adolescents rescapés de ce crash et livrés à nous-mêmes.

 

L’île où nous avons atterri est de faible superficie. Elle semble inhabitée et sauvage, et pourtant la végétation est luxuriante.
Afin de découvrir cette île plus en avant, je pars avec mon amie à la découverte de ce petit bout de terre surprenant. Nous sommes désagréablement surprises par une odeur nauséabonde qui envahit l’île et empeste. Nous partons à la recherche de l’origine de cette odeur fétide. Rien apparemment ne l’explique. Nous sommes un peu angoissées. Après dix minutes de marche dans une végétation riche et variée, nous découvrons des plantes immenses à très larges feuilles avec au centre une fleur noire gigantesque. Plus nous nous en approchons, plus l’odeur est intense. Je me suis alors rappelée un reportage sur ces plantes équatoriales qui rejettent des émanations pestilentielles. Rien de bien inquiétant donc.
Soucieuses de notre survie, nous partons à la recherche de notre nourriture pour le soir et trouvons deux énormes noix de coco qui feront bien l’affaire.

 

Le soleil commence à se coucher alors nous accélérons le pas et rejoignons le groupe. Lorsque nous arrivons, les autres adolescents avaient déjà bien entamé les provisions qu’ils avaient réussi à récupérer dans les soutes de l’avion. Pendant le pique-nique improvisé et frugal, chacun raconte ce qu’il a pu observer sur cette île surprenante. L’un a observé un oiseau rapace de très grande envergure chassant sa proie. L’autre précise qu’il a aperçu des reptiles et même un boa, ainsi qu’un peuplement de singes curieux et agités : la preuve que cette île abrite des êtres vivants. Mais elle n’est pas paradisiaque à nos yeux car elle est dénuée de présence humaine.

 

Le ciel étant menaçant, nous nous préoccupons rapidement de trouver un abri pour le soir. Nous nous empressons de rassembler des branches et des feuillages pour construire un abri sommaire mais étanche pour la nuit. Chacun est très volontaire et personne ne rechigne à la tâche. C’est très étrange. Chacun est conscient de la gravité de notre situation. D’autre part, nous décidons pour notre sécurité d’établir un tour pour monter la garde, à deux personnes pendant une heure, et entretenir le feu que nous allons allumer afin de tenir éloignés les animaux indésirables. Personne ne veut voir notre abri de fortune se faire attaquer par des reptiles ou autres animaux dangereux.

 

À l’approche de la nuit, nous sentons l’angoisse grandissante de chacun mais le mot d’ordre du plus âgé de notre groupe est de garder son calme afin que la nuit soit la plus paisible et calme possible. Demain matin, nous espérons tous que des hélicoptères viendront à notre recherche et réussiront à nous localiser.

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 21:20

Stéven et moi sortions de l’avion alors que de gigantesques flammes  s’en échappaient.Nous partîmes découvrir l’île dont nous étions malgré nous les nouveaux habitants.

Nous commençâmes par l’immense plage mais nous n’y trouvions rien d’intéressant alors nous décidâmes de continuer notre exploration. Nous arrivâmes devant une majestueuse forêt peuplée d’énormes arbres. Nous cherchions un espace accueillant pour passer la nuit. Nous parvînmes dans  une étendue de grandes herbes et de fougères géantes. Comme nous ne trouvions toujours pas où nous installer, nous décidâmes de continuer notre route.

Enfin, alors que nous étions presque épuisés, nous trouvâmes une somptueuse grotte creusée dans la pierre. Les murs étaient ornés de colossaux  dessins rouges. Nous nous installâmes dans l’immense grotte. Nous posâmes nos sacs sur le sol et nous préparâmes nos lits avec de sublimes feuilles de palmier en guise de matelas. Nous nous dépêchions car une magnifique lune faisait son apparition. Nous nous allongeâmes sur les feuilles de palmier et nous commencions à nous endormir quand je dis à Steven :

«Est-ce que tu penses que quelqu’un va venir nous chercher ici ? 

- Oui, me répondit Stéven, car j’ai appelé les secours et ils m’ont assuré qu’ils viendront nous chercher  dès demain. »

Puis nous nous endormîmes.

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 21:10

Après le crash, je réussis à m’extraire de l’avion et à nager jusqu’ à l’île la plus proche. J’arrive sur une plage de sable fin. On dirait une plage couverte d’or car le sable est si jaune ! Le soleil, encore présent pour quelques instants, chauffe mon corps trempé. La végétation est composée d’un nombre impressionnant de gigantesques et majestueux palmiers. De la végétation aux couleurs chatoyantes, des senteurs s’échappent.
Tout à coup, j’aperçois certains des rescapés qui arrivent à leur tour sur la plage. Parmi le groupe, je distingue Mathieu, Guy et Pierre-Yves qui grelottent. Mais aucun de nous n’a aperçu le pilote. Il a dû périr ou dériver vers une autre île.
Nous nous concertons et nous décidons que nous allons certainement passer la nuit sur cette île car personne ne sait encore que notre avion s’est écrasé. Les recherches ne commenceront que demain. Nous décidons donc qu’il faut trouver de quoi manger et boire. Nous pénétrons dans la forêt où nous apercevons une source dont l’eau est transparente. Pour manger, ce n’est pas très difficile : il suffit de lever les yeux. En effet, une partie de la forêt est remplie de bananiers, de cocotiers. Pour les bananes, il est très facile de les cueillir, mais ce n’est pas le cas des noix de coco ! Je décide de grimper en haut d’un cocotier afin de pouvoir attraper ses fruits. En grimpant le long du tronc, j’ai une impression de liberté ! Après avoir repéré deux grosses noix de coco, je secoue la branche et celles-ci tombent près de mes amis.

Quand nous retournons près du rivage où est resté le groupe des rescapés, le soleil a disparu et le froid commence à se faire sentir. Heureusement, un garçon nommé Alexandre prend deux pierres en forme de silex et les frotte. Au bout d’un temps qui nous parait long, le feu jaillit. Nous nous installons autour du feu, et mangeons ce que nous avons réussi à cueillir dans la nature. Puis, nous nous endormons progressivement car nous sommes fatigués des efforts que nous avons dû déployer pour atteindre le rivage de cette île.

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 16:01

Nous avançons sur une plage sinistre entourée de récifs dont les pics font penser à des dents. Soudain un éclair fend le ciel et la pluie commence à tomber. Nous nous enfonçons dans une forêt hostile d’où nous viennent des cris d’animaux. Mon amie nous dit que nous devrions construire un abri.

Tout à coup, un cri perçant retentit dans la nuit, derrière nous. C’est Clara ! elle s’est fait mordre par un énorme serpent ! Nous la déposons dans un coin avec Élise qui essaie de soigner la plaie.

Une fois la hutte, faite de feuille et de branchages, terminée nous décidons d’explorer l’île. Nous revenons à la hutte une première fois sans avoir rien découvert de spécial et nous voyons que le pied de Clara est devenu noir. Nous examinons de près la morsure. Avec les grandes feuilles d’un bananier nous enrobons la jambe presque entière. Avec de la mousse et des oreillers tombés de l’avion, je fabrique un matelas de fortune pour allonger notre blessée, puis nous nous occupons d’explorer l’autre partie de la forêt dense.

Là de petites habitations nous apparaissent.

« Nous devrions aller voir », suggère Élise.

À notre arrivée, les sauvages nous regardent étrangement. Ensuite, dans une langue incompréhensible, les hommes crient et se rassemblent autour de nous. Intimidées, nous leur faisons signe de nous suivre au campement. Là le peuple sauvage réussit à soigner Clara avant de nous emmener dans le village où nous passons le reste de la nuit.

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5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 22:15

Je me réveillai en me rappelant ce qui m’était arrivé : dans un vol, l’avion avait brusquement arrêté son moteur et s’était écrasé sur cette île. Je commençai ma journée par chercher d’éventuels autres survivants. Quelques amis étaient présents autour de moi. Sans doute, nous étions dans la partie de l’avion la moins endommagée.


Ensemble, dans la matinée et l’après-midi, nous fouillâmes le plus rapidement possible l’île qui était, en somme, dangereuse et hostile. Elle possédait au Nord une forêt lugubre peuplée de nombreux herbivores. Des cavernes, au centre, étaient  habitées par de terrifiantes bêtes et, à l’Est,  des marécages et des trous d’eau grouillaient de moustiques. Elle avait aussi une plage au Sud et une autre avec de nombreux sables mouvants à l’Ouest. Avant tout, le problème était que, s’il y avait beaucoup d’herbivores, il y avait forcément beaucoup de carnivores et sans doute certains seraient dangereux.


 Après longue réflexion, le reste de l’après-midi, nous décidâmes de nous armer contre tous ces dangers et nous fabriquâmes une carte avec du papier qui était dans nos bagages, dans le but de noter les zones utiles. Nous entreprîmes de tresser une corde que chacun aurait avec lui pour affronter le piège des sables mouvants, de trouver des bâtons imposants contre les bêtes et de faire des vêtements protégeant des moustiques. Il y avait une colline d’où on pouvait observer l’île car on la surplombait. C’est là que nous voulûmes faire un poste d’observation.


Un de mes camarades suggéra qu’avec des armes, on pourrait chasser un ours d’une caverne pour s’y installer. Dans la soirée, nous allumâmes une torche fabriquée sur l’île et nous la lançâmes dans une caverne. L’ours qui l’habitait sortit en courant et nous prîmes sa place. Avec la torche, nous fîmes un feu pour que les animaux sauvages ne rentrent pas et que l’ours ne vienne pas reprendre son territoire. Nous répartîmes des tours de garde et nous nous endormîmes après avoir mangé une simple noix de coco qui avait été trouvée sur la plage du Sud pendant que nous fouillions l’île, dans l’après-midi.

 

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