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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 18:05

Les trois frères

Un jour une femme eut trois petits enfants triplés, il s’agissait de trois garçons.

Leur père mourut d’une maladie incurable à l’époque. Leur mère était une petite paysanne qui se débrouillait comme elle pouvait, elle avait dans sa petite ferme six vaches, deux chèvres, huit lapins, deux chevaux, cinq poules, un chien et huit hectares de terre.

Elle cultivait, avec l’aide de ses fils dès qu’ils atteignirent dix ans, quatre hectares d’herbe, un hectare de maïs, un hectare de betteraves et un hectare de blé et tout cela a l’aide deux chevaux. Quand les trois frères eurent 18 ans, ils décidèrent d’aller chacun de son côté. Un voulait faire meunier, le meilleur meunier de la région. Le second voulait être menuisier et l’autre tailleur de vêtements.

Cela faisait un an qu’ils apprenaient leur futur métier chez leur patron. Le premier arrivait à faire la meilleure farine qu’il soit. Son patron était si fier de lui qu’il lui donna un âne magique qui avait le pouvoir, lorsqu’on lui levait la queue, de lâcher des pièces d’or. Le second arrivait à faire des belles chaises en bois, son patron était si fier de lui qu’il lui donna une petite table magique, quand il voudrait manger il lui suffirait de dire ce qu’il voulait. Le dernier arrivait à coudre les plus beaux pantalons et son patron était si fier de lui qu’il lui offrit une massue magique. Quand il aurait besoin de la massue pour se défendre des voleurs il suffisait qu’il dise : « Sac ouvre-toi » et la massue sortirait devant les brigands. Les trois frères repartirent à la ferme voir leur mère.

Quand la mère vit les trois frères elle était heureuse, les trois frères montrèrent ce qu’ils avaient ramené et la mère dit: « Grâce à l’âne je pourrai acheter d’autre animaux, grâce à la table nous pourrons manger à notre faim et grâce à la massue nous pourrons nous protéger des brigands ».

Johann, 4C, avril 2013

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 17:47

Bonjour, je m'appelle Jean-Marie Poulain, il m'est arrivé une histoire extraordinaire, je vais vous la raconter.

À l'époque, je ne devais avoir qu'une vingtaine d'années, j'étais jeune,
mais j’avais un vilain défaut, j'étais fainéant, comme tous les gens de nos jours qui ne
veulent plus travailler. Ce jour là comme beaucoup de jours,  je fainéantais à faire
la sieste sur  mon hamac au  soleil, je regardais mon voisin qui était en train
de désherber ses talus à l'aide de sa faux.

D'un coup, je fus stupéfait de voir que le voisin en question commençait à s'acharner sur les pauvres plantes avec des mouvements de plus en plus brusques avec sa faux. Soudain, il se retourna en me regardant avec un regard animal et dangereux,  tel un chien enragé. Soudain, le ciel se couvrit, le tonnerre gronda, et mon voisin était en train de se transformer en ricanant. Je voyais ses dents qui s'affinaient en devenant aiguës et tranchantes telles celles d'un loup. Bref il se changeait en un monstre gigantesque, ses ongles devinrent des griffes, il grandissait et élargissait à tel point que ses vêtements  se déchiraient, il était à quelques dizaines de mètres de moi et me fixait droit dans les yeux. Et, soudain, il fit un bon prodigieux et s'éleva dans le ciel. Je ne le quittais pas des yeux jusqu'à ce qu'il devienne un petit point noir. Puis ce petit point noir retomba avec une vitesse époustouflante. Quand il toucha le sol, le monstre provoqua un tremblement de terre et un nuage de poussière,  il était maintenant à deux mètres de moi, son souffle était puissant et son haleine sentait la vieille charogne, la lame de sa faux était couverte de sang, il  leva sa faux et coupa  une des cordes de mon hamac, j'étais pétrifié de peur, je tombai à terre et rampai jusqu'au talus qui était derrière moi  en cherchant quelque  chose  pour me défendre, je saisis un bout de bois le lui jeta à la figure, mais il le saisit avant que celui-ci n'ait pu l'atteindre.

D'un coup, mes jambes me firent lever sans que je ne l'aie demandé et je pris la faux du monstre, toujours sans le vouloir comme si quelqu'un me commandait. Il me dit « Si tu  ne travailles pas, tu seras hanté jusqu'à  la fin de tes jours ». Mes bras commencèrent à couper   les mauvaises  herbes .Soudain un éclair blanc apparut et je crus que c'était  la foudre, mais en me retournant, je vis que j'étais seul, le monstre avait disparu et quelques secondes plus  tard, je m’effondrai par terre.

Une heure plus tard, je me réveillai à cause de cris. Quand j'ouvris les yeux, des personnes étaient rassemblées et je reconnus les gens de mon village qui se pressaient autour de moi. J'appris par la suite que mon voisin avait disparu. À partir de ce jour, je travaillai du lever au coucher du soleil sans aucun répit, je ne sus jamais si
j'avais rêvé ou si cela était la réalité. 

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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 17:12

                                                           L’horloge

            Il y a quelques années, j’avais trouvé une vieille horloge chez ma grand-mère. Ma grand-mère était morte. On ne savait pas comment. Un jour, donc, je ramenai l’horloge chez moi. Je l’accrochai à un mur dans mon salon.

Au bout d’un mois, je trouvais que l’horloge n’était plus comme avant. J’ignorais pourquoi j’avais cette impression alors tous les matins je la regardais.

Après un autre mois passé, l’horloge n’était pas encore pareille.

Du coup à chaque premier jour du mois, je la regardai et à chaque fois, elle me paraissait changée.

Un jour, dans l’horloge, je vis une silhouette mais je me dis : rien de grave. Mais le jour suivant je vis la personne de plus près, j’étais perplexe. Le lendemain, je commençais à voir deux personnes : un garçon et une autre, je ne voyais pas assez bien pour différencier un gars ou une fille.

Alors l’inquiétude me gagna, j’allai voir un bijoutier qui vendait des horloges du même style que celle de ma grand-mère et je lui demandai :

«  Vendez-vous des horloges avec des personnes à l’intérieur ?

Et il me répondit :

- Vous êtes  sûr que vous allez bien, Monsieur ? des personnes dans une horloge,  ça n’existe pas ! »

Alors je rentrai chez moi et là, dans l’horloge, je vis une dame assez âgée et un homme avec une cagoule sur le visage. J’eus soudain très peur ! Le lendemain je vis une vieille dame assise à table .Derrière elle, un bandit, avec une cagoule et un revolver. Et là je pensai tout de suite a ma grand-mère que l’on avait trouvée          morte au pied de la table.

Aussitôt, je courus voir la police mais ils ne crurent pas un mot de ce que je leur disais.

C’est ce jour-là que j’ai balancé l’horloge à la poubelle et jusqu’à ce jour, je n’en ai plus jamais parlé. 

Mathieu, 4A, avril 2013

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 17:29

Il y a quelques années, je l’ai rencontrée. Oui cette femme dont tout le monde rêve, si jolie, si gentille … Je l’ai rencontrée dans une ruelle de New York. À première vue, elle n’avait pas l’air abordable mais j’ai tenté ma chance. Elle m’a donné son numéro puis un petit rendez-vous près de la Statue de la Liberté.

Et ce jour-là, je sors de cette ruelle avec cette femme, elle me quitte, prend sa voiture et part. Je fixe cette voiture pendant quelques minutes et là, de la voiture sortent des ailes ! Puis la voiture prend son envol avec cette femme à l’intérieur. Alors deux voitures noires immatriculés NYPD poursuivent la voiture au-dessus des piétons. Les policiers sortent une grosse arme et tirent sur la voiture que conduit la femme, oui cette femme. La voiture explose, la femme aussi … Désespéré, je sombre  dans l’alcool et dans la drogue.

Mon réveil sonne, il est six heures quarante-cinq,  l’heure d’aller au lycée, de reprendre mes esprits, ma vie d’adolescent. Ce n’était qu’un simple cauchemar. Pourtant, cette femme, je la connaissais, elle était dans ma classe. Plusieurs mois plus tard, je réussis à l’aborder  et maintenant je suis en couple avec elle, persuadé que c’est la femme de ma vie.

Mathis LB, 4A, avril 2013

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 17:12

En ce vendredi soir, les comédiens, chanteurs et danseurs de la comédie musicale « 1789, Les amants de la Bastille » se livrent à un ultime filage avant la première représentation du spectacle, la pression est à son comble. Ce spectacle retrace les temps forts de la révolution française.

Enfin, c’est la première. Les spectateurs impatients de découvrir ce nouveau spectacle s’installent avec joie dans le Palais des Sports. Le spectacle  est sur le point de commencer quand soudain un hurlement de femme retentit dans la salle, ce cri vient des coulisses. Après ce petit incident, le spectacle commence comme prévu. Les scènes, aussi spectaculaires et professionnelles les unes que les autres, épatent les spectateurs qui le font comprendre en applaudissant. C’est un grand succès.

Maintenant c’est au tour de Roxane Le Texier de rentrer en scène, elle joue le rôle de Marie-Antoinette. Tout se passe très bien lorsque soudain Roxane s’écroule par terre. On l’évacue par les coulisses et le spectacle reprend très vite.

Le plus inquiétant, c’est que le lendemain pour la deuxième représentation, l’artiste n’est pas remise, on l’a retrouvée transformée en une statue qui décore la scène d’ouverture.

Puis, chaque soir de représentation, un artiste de la troupe pousse un cri, s’écroule pendant sa représentation et se réincarne en un objet du décor. Dove Attia, le créateur de cette comédie s’inquiète pour l’avenir de son  spectacle. Les spectateurs déçus par le peu d’entrain des comédiens, viennent de moins en moins  assister au spectacle.

Mais un jour, tous les artistes de la troupe reviennent aux répétitions comme si rien ne s’était passé ! Aucun des artistes n’a jamais pu nous dire ce que s’est réellement passé.

Avec la fin de tous ces phénomènes étranges, le spectacle reprend et ravit les spectateurs. C’est une grande réussite !

Léa, 4A, avril 2013

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 21:15

Je m'appelle Marina, j'ai douze ans et dans la vie j'ai une passion : le dessin .
J'aime bien me lancer des défis tels qu'essayer de dessiner une planche
de BD en une après-midi sur un thème donné. Mais  j'ai un problème : s'il y a bien une chose que je déteste plus que ma petite sœur, c'est l'école et plus particulièrement le sport. Mon prof de sport est très antipathique et dès la première fois que je l'ai vu, je n'ai pas pu m’empêcher de le représenter en gorille.

   Mais c'est hier soir pendant les deux dernières heures que l'ai  choses se sont gâtées après qu'il m'a mis une note lamentable pour,  je cite " un sprint
lamentable" qu’il a dit. Je déteste les mauvaises notes , mais le pire c'est de les ramener à la maison !
Donc ce soir-là, je suis rentrée, peu fière de moi, et quand j'ai dit ma note,
ma petite sœur a bien fait remarquer que, elle, elle avait eu 10/10 la dernière fois .
Je suis sortie de table et montée dans ma chambre, mais comme je suis
timide et réservée la seule chose que j'ai faite pour évacuer ma colère c'est de
dessiner le prof de sport en gorille et je l'ai coloriée en rose et en vert comme les couleurs horribles de tous ses survêtements.
L e lendemain, je me réveille et j'avais vraiment bien dormi, trop bien car quand j’ai regardé mon réveil, je me suis aperçue que j'étais en retard ! Je suis sortie à toute allure et me suis mise à courir pour ne pas arriver à l’école en retard.


A mon grand étonnement tous les élèves et les profs étaient sur la chaussée, j'allai vite rejoindre Léa , ma meilleure amie pour lui demander ce qui se passait.
Elle m'expliqua qu'un gorille rose et vert était en train de détruire la salle de 3B qui a cette heure était sensée être en sport .
Dans ma tête je fis le lien entre le prof et le gorille et cela me fit rire , mais une voix demandant aux élèves d'écouter me sortit de mes pensées ; c’était le directeur
qui nous annonçait que nous devions rentrer chez nous ; je profitai de cette occasion pour inviter Léa à la maison et lui expliquai tout : le cahier, le prof, tout.

    Comme je l'avais prévu Léa était toute contente et pressée d'essayer. Je commençai à dessiner selon ses désirs et ça donne ça: le jardin rempli de plein de gens occupés à faire la fête dans une ambiance electro; dès les
dernières touches de couleur posées, nous nous sentîmes aspirées comme
par un courant d'air et en deux secondes on était dans le jardin et là,  le rêve : Kevin est là, le garçon que j'aime et que je n'ose approcher est là, dans le jardin !!
Je me sentis rougir. je courus dans la cuisine chercher Léa, mais pas
besoin de lui parler : elle avait compris ! On courut plus vite que jamais dans escaliers : direction, ma chambre.

    Léa avait été plus rapide que moi, elle prit le carnet et me dessina main dans la main avec Kevin , sur le dessin j'avais un sourire plein d'assurance. Elle dessina aussi la place en pleine fête foraine avec des karts : j’adore le kart.
Léa coloria tous ses dessins  et … nous y voilà : des karts partout ! Un
terrible pressentiment  m'envahit soudain : les karts roulaient tout seuls et ils mangeaient les gens ! Je faillis perdre connaissance quand je vis Léa et Kevin
se faire manger.

Finalement je courus, encore vingt mètres, je tombai et me retrouvai à terre, sans connaissance. 

Marie-Reine, 4C, avril 2013

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 19:46

Je me nomme Elissa Dream, j’ai treize ans et je suis en 4eme .J'habite dans un petit village  situé non loin des côtes du Nord de Montébard et nommé Esilon. Montébard est une petite ile avec très peu d'habitants. Je suis fille unique. Ma grand-mère est morte et mon grand-père a disparu l'hiver dernier sans laisser aucune trace. Mes parents ont décidé que nous passerions les vacances d'été dans leur manoir à vingt kilomètres de chez nous. J'adorais mes grands-parents, la mort de grand-mère m'a beaucoup attristée et la disparition de grand-père encore plus. Après sa mort mon grand-père m'a offert le pendentif qu'elle portait tous les jours, il m'a dit qu'il renfermait un  grand secret. Je suis sûre que ce collier a un rapport avec sa disparition.

C'était la première fois que j'allais voir leur manoir et j'étais très excitée. Quand nous fûmes enfin arrivés les nuages cachaient le soleil et un froid glacial me parcourut l'échine : les arbres étaient morts et on aurait dit que les alentours de la demeure étaient sans vie. Après avoir déballé nos bagages, je m'assoupis dans mon lit et dix minutes plus tard quelque chose d'étrange se produisit. Le pendentif de grand-mère se mit à chauffer jusqu'à me brûler la poitrine. Je me réveillai en sursaut et en sueur, mon collier était toujours là mais aucune marque de brûlure.-''Drôle de rêve !'' pensai-je.

Mais le même rêve se reproduisit chaque nuit, sauf que des voix s'ajoutèrent, je distinguais ce qu'elles disaient : ''Trouver la moitié du collier!''

Le lendemain, je fouillai dans toute la maison et découvris enfin l'autre médaillon bien caché dans le bureau de grand-père. A mon grand étonnement, sur l'un des colliers était écrit le nom de grand-mère et sur l'autre un nom que je ne connaissais pas .Des lettres étaient posées sur le bureau et malgré l'interdiction de mes parents je les lus .Je découvris que grand-mère aimait un autre homme et que par ces lettres, elle en informait mon grand-père. Je supposais donc qu'il était parti à la recherche de cet inconnu, pour le rencontrer; sans prévenir personne. J'avais découvert le secret de grand-mère et j'étais fière mais j'eus tout à coup des vertiges et je décidai de fermer les yeux.

Quand je les rouvris, je me trouvais chez moi, dans mon lit. J’ai tout d'abord cru avoir rêvé mais un médaillon était posé dans chacune de mes mains.

Loïse, 4A, avril 2013 

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 18:42

   Cela faisait une semaine déjà que je résidais chez ma tante à Poitiers, chez qui je passais les vacances de printemps cette année-là. Le temps avait été clément jusqu’à présent, m’ayant permis de me promener dans la ville comme bon me semblait. Malheureusement un jour une pluie diluvienne s’est abattue sur la cité, m’empêchant toute activité de plein air. Je sus m’occuper plusieurs heures, mais vint un moment où je n’eus plus rien à faire. Afin de ne pas rester inactive pendant le reste de la journée, je montai au grenier et le fouillai de fond en comble, dans le but de trouver quelque objet susceptible de m’occuper un certain temps.

   Alors que j’inspectais le contenu d’une malle posée contre une étagère, cette dernière s’ébranla subitement, et j’eus juste le temps de m’écarter avant qu’elle ne se renverse de côté, laissant entrevoir une pièce cachée. Un frisson me parcourut de la tête aux pieds et un sentiment d’effroi me glaça. Je sentais que quelque chose de malsain se dégageait de cette pièce, mais j’y entrai malgré tout, prudemment, et remarquai que les murs étaient couverts de photos représentant des enterrements, des scènes de crimes ou des champs de bataille. C’était terrifiant.

   Sur l’une d’entre elles, on distinguait un homme somptueusement vêtu, qui était étendu sur le sol d’un salon cossu décoré de riches tentures et de luxueux meubles. Il était entouré de différentes personnes qui pleuraient abondamment et que j’identifiais comme des membres de sa famille.

   Tout à coup, je fus comme aspirée par la photo et me retrouvai dans la peau de cet homme, quelques instants avant le drame.

   Je courais dans les rues de Paris, traquant un homme que je devais éliminer le plus rapidement possible, pour le bien de tous. Après maintes tentatives qui s’étaient révélées vaines, je rentrai chez moi, acceptant la défaite à contrecœur. En pénétrant dans le salon, j’eus l’impression diffuse que je n’étais pas seul. Vaguement inquiet, je me retournai et me retrouvai face à ma proie, qui tenait un revolver pointé sur ma poitrine. Les rôles venaient de s’inverser. Il affichait une moue satisfaite qui n’augurait rien de bon. Le coup partit avant que je ne puisse esquisser le moindre geste, et je m’écroulai sans éprouver aucune douleur. Je sentis le sang chaud s’écouler de la plaie, tandis que mon assassin se penchait en souriant pour contempler son œuvre.

   Son image disparut peu à peu. Une voit lointaine me parvint :

- Venez vite, je l’ai retrouvée !

Des mains me touchaient le visage, et j’ouvris lentement les yeux. Ma tante et mes cousins me regardaient étrangement, et je mis quelques secondes à réaliser où je me trouvais. Je me souvins des évènements que je venais de vivre, et me redressai brusquement. J’avais quitté le salon cossu et me tenais désormais dans la pièce aux photos. J’examinai les murs et constatai avec stupéfaction qu’il manquait une photo : celle de l’homme gisant sur le sol, que j’avais contemplée quelques minutes auparavant.

   Jamais je n’ai pu expliquer ce qui m’était arrivé ce jour-là, ne sachant pas quelle avait été la part de réalité dans cette histoire…

Emma L, 4C, Avril 2013 

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 18:27

C’est l’histoire d’un jeune homme qui aimait beaucoup lire. Un jour il commença un livre qu’il trouvait passionnant, plus il avançait dans le livre plus il le trouvait intéressent mais un jour alors qu’il se trouvait à la moitié de son livre, il se passa quelque chose de bizarre. Il se trouvait dans l’histoire de son livre. Il poursuivit sa lecture et dans l’histoire, il était dans une chambre, il ne savait pas ce qu’il y faisait mais il n’y voyait pas d’inconvénient. Il en profita pour faire une sieste  

Puis quand il se réveilla, tous les objets autour de lui avaient diminué de volume, même le lit sur lequel il s’était assoupi. Le jeune homme se promena dans cette fameuse chambre. Il y découvrit un coffre qui contenait de vieux bibelots. Il essaya de sortir de la chambre mais la porte était verrouillée. Il était pris au piège dans son livre. Les jours passèrent, à chaque fois qu’il dormait les objets rétrécissaient jusqu’au moment où ce fut la chambre qui rétrécit. Au bout d’un certain temps,  il ne pouvait plus bouger, il allait mourir dans le livre  mais voilà que sa mort le fit sortir du livre.

Alors il reprit le cours de sa vie et garda le livre chez lui dans sa bibliothèque. Après cet événement terrifiant il arrêta de lire définitivement.     

Emma D. 4A Mars 2013

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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 19:40

Le Mystère de la pendule ... 

Cela faisait trois mois que j’avais quitté l’Alsace pour rejoindre mes amis en Haute-Loire. Parti à  vélo, je devais m’arrêter tous les soirs afin de trouver un logis.

Un soir, une personne serviable accepta de me loger. Elle me fit entrer dans un manoir du 19è siècle. C’était l’heure du dîner, le mari et les trois enfants étaient installés autour d’une grande table ; une servante apporta les plats.  Je m’installai en bout de table et la servante me proposa de la soupe. Puis vint l’heure de la prière ; toute la famille méditait :

« Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne…. . » 

Le temps de prières dura environ une heure.

Ensuite la servante me conduisit à ma chambre. Lorsque j’entrai dans la pièce, j’eus un battement de cœur ; cette chambre était immense et froide. Je me couchai vers 20h30. Ce que j’ignorais, c’était que cette grosse  pendule au fond de la chambre ne cessait  pas de carillonner  toutes les heures. Je finis par m’endormir.

D’un seul coup au milieu de la nuit, la pendule s’arrêta de carillonner et une étrange silhouette en sortit. Elle se rapprochait de plus en plus de mon lit. J’eus une peur bleue et je me glissai sous ma couette. Cette silhouette me dit d’une voix étrange :

«  Que fais-tu dans mon lit ?

Je répondis d’une voix tremblante :

      - Je dors. » 

      Alors la silhouette souleva brutalement ma couette. Elle vit que je dormais, malgré cela elle jeta ma couette à terre. Mon corps se refroidissait, petit à petit, cela me réveillait. La silhouette avait disparu mais la porte de la pendule était ouverte et les aiguilles indiquaient trois du matin. À ma montre, pourtant, il était cinq heures …         

Maël, 4A, avril 2013                                                                                            

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