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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 23:12

fureur-des-mots-college--2--copie-1Mais qu’est ce que je fais là ? Je suis dans un train de nuit luxueux et très illuminé ! Il y a beaucoup d’enfants que je ne connais pas ici. Tout à coup, j’aperçois Adrien et je lui demande «Où va-t-on ? »

Il me répond : « Tu sais bien que nous sommes dans le train d’Harry Potter et que nous sommes en route pour Poudlard ! ».

Je suis très étonné, je m‘approche alors de la vitre du train et à ma grande surprise, le soleil brille, je vois aussi des paysages de campagne à perte de vue : des champs de blés, des arbres, des lacs… J’ai impression de n’aller nulle part. Soudain, le train s’arrête, nous sommes arrivés à destination. Sur le quai de gare un comité d’accueil m’attend, trois adultes tous bien vêtus. Il y a deux hommes habillés en costumes cravates avec un air sérieux et une dame avec des souliers noirs, des ongles bien vernis et un sac rouge. C’est bizarre, elle ressemble à Mme Gascon, professeur de Français au Centre !

Je réussis à les éviter et je file tout droit, mais les rues sont désertes. Plus loin, j’aperçois une plage alors j’en prends la direction. En marchant, je me rends compte que je connais cet endroit, j’y suis déjà venu en vacances avec mes parents il y a 2 ans. C’est la plage de Loc Avel à Douarnenez. Tout en haut de la falaise se trouvent les logements de vacances mais, à ma grande surprise, il n’y a personne sur la plage, je ne trouve même pas mes parents. Je décide donc de rejoindre la résidence. Arrivé devant la porte d’entrée blanche, je suis très étonné de voir  une chaise cassée, mais surtout ce qui m’intrigue c’est la grande corde de bateau enroulée. Mais cette corde elle sonne ! Et elle sonne si fort que j’ai l’impression que c’est le ferry au large qui signale son départ. En réalité ce n’est pas un bateau mais la sonnerie de mon réveil qui met un terme à ce rêve et me fait sursauter dans mon lit. Il est 7 heures, c’est la rentrée des classes, je vais avoir des choses à raconter à mes copains.

Alexandre, 4A_ 2012

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 23:09

fureur-des-mots-college--2--copie-1Les trois femmes étaient amies depuis peu mais cela n'empêchait pas leur amitié les unes envers les autres. Un après-midi d'automne, alors qu'elles s'ennuyaient, elles prirent une décision pour le moins peu  commune et pour laquelle elles étaient toute trois d'accord. Un voyage, court certes mais ça ne les dérangeait guère. La destination choisie était la Bretagne, la mer, la plage les émerveillaient.

Peu de temps après, elles partirent en train. Elles avaient loué un appartement. Après un long voyage elles arrivèrent dans leur location en bord de mer. Sur la terrasse, se trouvait une grosse corde enroulée sur le sol et une chaise en bois renversée. Sans s’inquiéter, l'une d'entre elles la rangea à l’intérieur.

On raconte qu'elles passèrent les meilleures vacances de leur vie . Mais toutes les bonnes choses ont une fin et leurs vacances étaient vite finies.

A leur retour de Bretagne, leur amitié s'étaient renforcée. Quand ce fut le moment de monter dans le train ; un magnifique train spacieux où  étaient accrochées des dizaines de lampes à côté des fenêtres et qui les ramenait donc chez elles , la première page d'un journal les interpella : UN HOMME S'EST DONNE LA MORT SUR SA TERRASSE DE BRETAGNE.

Etant donné la gravité des faits  , elles lurent ensemble l'article . Ce dernier expliquait qu'un homme ; le propriétaire de l'appartement qu'elles avaient loué, s'était pendu sur sa terrasse et qu'il y avait laissé une corde et une chaise en bois à terre.

Le corps, pourtant avait visiblement été déplacé avant leur arrivée. Deux questions se posaient toutefois: où le cadavre avait-il été mis pendant que les amies étaient dans l'appartement et par qui ?

Eva 4A_2012

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 22:56

La corde mystérieuse

 

  fureur-des-mots-college--2--copie-1 Par la vitre du train, Malika regardait passer les vaches et les moutons. Elle avait hâte de revoir Ingrid. Depuis que celle-ci avait déménagé en Bretagne, elles se voyaient très rarement. Sa mère l’avait donc poussée à rejoindre son amie cet été.

   Deux heures plus tard, Malika débarqua à la gare de Morlaix, et, de là, prit le bus pour Ploujean. Elle arriva le soir même chez Ingrid.

   L’accueil fut très chaleureux, la mère d’Ingrid était très gentille, et tout allait très bien. Mais, le soir, en regardant dans son petit sac à dos pour voir combien sa mère lui avait mis d’argent, Malika découvrit son porte-monnaie vide avec un petit morceau de corde rouge à l’intérieur. « Bizarre », se dit-elle. Puis elle décida d’en parler à Ingrid le lendemain.

   Le matin suivant, devant un bon petit déjeuner, Ingrid lui raconta qu’il y a quelques jours à peine, sa mère avait elle aussi perdu de l’argent, mais au marché. Parmi la foule, elle avait remarqué une dame habillée tout en rouge qui s’approchait de tout le monde. De retour chez elle, elle aussi avait remarqué un petit bout de corde à la place de son argent dans son sac à main…

   Le lendemain, elles allèrent à la plage. Les deux filles se baignaient quand elles virent, sur le sable, une femme avec un maillot et des affaires rouges, avec une corde dessinée dessus. Intriguées, elles la suivirent quand elle s’en alla. Elles arrivèrent à une maison en pierre, typiquement bretonne.

   La dame avait une clé ; elle entra. Les filles virent sur la terrasse un pot de peinture rouge, une chaise renversée et une corde enroulée sur elle-même. Aussitôt, elles allèrent au poste de police. Un agent, informé des vols dans la région, alla avec les fillettes à la maison : ils découvrirent par une fenêtre la femme aux chaussures rouges et deux hommes du gang, reconnaissables grâce à leurs robes d’avocats, qui discutaient, un tas d’agent liquide au milieu de la table. Alors, les policiers investirent la maison, chacun récupéra son argent et le gang fut mis derrière les barreaux.

 Floriane, 4A, 2012   

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 22:50

fureur-des-mots-college--2-Le 03/09/12

Cher journal,

Aujourd’hui, c’est mon dernier jour de vacances. Je compte bien en profiter avec ma famille car demain, je rentre en sixième dans un collège loin de chez moi. Alors, j’irai à l’internat. Je suis très anxieuse car je ne connaîtrai personne. Mais pour le moment je vais à la plage avec mes proches car il fait beau.

Le 04/09/12

Cher journal,

Ça y est, je suis dans le train. Les minutes s’écoulent lentement. Je suis assise en face d’une vieille dame qui fait des mots croisés. A l’arrivée la dame vient vers moi et m’adresse un sourire. Elle porte une robe noire et a un sac à main rouge. Elle est accompagnée de deux hommes en smoking noir.

Le 06/09/12

Cher journal,

 Le professeur de SVT a une façon très bizarre de punir ses élèves. Il les attache sur une chaise en bois avec une corde et leur met un mouchoir dans la bouche pour les empêcher de parler. Un garçon de ma classe, Jonathan,  a oublié de faire ses exercices et donc, le professeur l’a attaché sur la chaise. Jonathan, en voulant se libérer a cassé son siège.

Le 07/09/12

 Cher journal,

 Enfin ! La semaine est terminée. J’ai vraiment hâte de revoir me famille. Ce soir, je reprends le train mais cette fois, de nuit.

Adèle M, 4A

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 22:41

fureur-des-mots-college--2--copie-1Aux États-Unis, à Miami, il y avait une maison où vivait un riche agent immobilier, il se nommait Mat. Quinton. Lors du solstice d’été, le calme régnait,  jusqu’au moment où on entendit le bruit d’une chaise provenant de la terrasse de l’agent immobilier, sa femme était si curieuse qu’elle alla voir ce qui se passait. Et c’est à ce moment-là qu’elle vit son mari pendu sur la terrasse de son jardin. Immédiatement, elle prit le téléphone et appela le F.B.I.  .Le chef de l’enquête, l’inspecteur Corentin, arriva sur le lieu du crime. Une heure passa et l’inspecteur  découvrit les empreintes d’un fugitif en cavale nommé Gaberconni. Et c’est ainsi que l’inspecteur se retrouva accompagné de sa coéquipière sur un pont abandonné avec l’agent secret Flavio. L’inspecteur raconta à l’agent secret tout ce qui s’était passé et l’agent comprit qu’il fallait s’infiltrer dans la bande de Gaberconni pour  le capturer. Une heure après, Flavio  prit le train à la gare de Miami en direction de New York. Pendant le trajet, il regardait par la fenêtre de temps en temps pour admirer les plaines à perte de vue. Arrivé à destination, il se rendit au quartier de Brooklyn où il trouva Gaberconni, il le mit à terre, lui passa les menottes et le donna à la police de New York. Et c’est ainsi que Flavio rentra chez lui et alla à la plage avec sa femme et ses enfants où ils passèrent la meilleure après-midi de leur vie.

Flavio, 4A, 2012        

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 22:28

 

Ho ! Je me réveille en sursaut. Je n’étais pas dans mon lit, ni dans celui d’un autre. J’étais dans le train. Oui, dans le train. Je me rendais chez ma tante en Bretagne. Enfin, Elle était morte, depuis peu. Je me rendais donc  dans sa maison,  près de Brest, en bordure de mer. C’est moi qui avais  hérité. Car j’étais la seule restante de la famille. J’ai trente a

fureur-des-mots-college--2--copie-1

ns, je  m’appelle Elisa Swan. Mes parents sont morts dans une collision de train, j’avais 4 ans, je n’ai plus le souvenir d’eux. J’ai vécu chez ma grand-mère jusque mes 16 ans.  Bref j’habitais Paris. J’ai pris le train : Paris-Brest. Je regardais par la fenêtre, on ne devait plus être loin du Finistère. Puis (environ 1 heure après) le train arriva. 

Enfin ! Trois notaires associés m’attendaient. Ces trois « Drôles de Dames » avait l’air sévère. La première -celle avec le sac rouge- me dit : «Bonjour je suis Marie-Aglaé 

D

e la Cloche Sur Pilate, voici mes associés Mesdames De la  Roche

 Noué sur Foucault, toutes deux sœurs. Allons chez votre tante, Mlle Swan. » dans le train. Oui, dans le train. Je me rendais chez ma tante en Bretagne. Enfin, Elle était morte, depuis peu. Je me rendai

s donc  dans sa maison,  près de Brest, en bordure de mer. C’est moi qui avais  hérité. Car j’étais la seule restante de la famille. J’ai trente ans, je  m’appelle Elisa Swan. Mes parents sont morts dans une collision de train, j’avais 4 ans, je n’ai plus le souvenir d’eux. J’ai vécu chez ma grand-mère jusque mes 16 ans.  Bref j’habitais Paris.J’ai pris le train : Paris-Brest. Je

 regardais par la fenêtre, on ne devait plus être loin du Finistère. Puis (environ une heure après) le train arriva

Nous y arrivâmes deux heures plus tard. C’était comme dans mon souvenir : la vieille maison au bord de la mer, la falaise, l’eau de mer toujours aussi lointaine et violente. Quand nous arrivons, la porte d’entrée est ouverte. A côté il y avait  une corde et une chaise qui était  parterre. « A vous Mlle Swan » me dit la dame avec le sac rouge. Je m’avançais dans le couloir un cambrioleur armé m’attendait. Il me tira dans la poitrine…

J’entendis une sonnerie, celle d’un téléphone. J’étais vivante, ce n’était qu’un  rêve. Je me


Ma vie est-elle un cercle vicieux ??
 réveillais ruisselante de sueur et morte  d’angoisse. Pour le téléphone c’était trop tard. Je me contentais du message. On m’annonça que ma tante qui habitait près de Brest était décédée.

Théo, 4C, 2012

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 22:22

Je rêve de paysages, de plages ensoleillées,

fureur-des-mots-college--2--copie-1

De maisons au murs colorés,

Au ciel bleu argenté.

 

A travers ma fenêtre j’aperçois de gris panoramas

Marbrés de vert et de marron,

Des villages apparaissent à l’horizon.

 

Quelques passants me croisent dans les rues désertées

Et semblent étonnés de me voir paresser

Dans ce village abandonné.

 

Une chaise à terre et un vieux cordage enroulé,

Une pluie fine et un vent léger,

Rien ne vient troubler ma contemplation

 

Mon train est arrivé et le voyage est terminé

Je pars découvrir de nouvelles contrées

Pour y trouver des merveilles cachées.

 

 

Fanny, 4C, 2012

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 22:17

fureur-des-mots-college--2--copie-1

 

 

Il y a une semaine, je suis revenue de mon tour de France. Je vais vous narrer brièvement mon voyage.

 

Je me suis rendue à la gare de Nantes pour monter à bord du train emmenant les passagers au Sud de l’hexagone. Je suis restée quelques jours à la plage, où je nageais en compagnie de poissons multicolores.

 

J’ai ensuite roulé jusqu’à Paris, où j’ai visité des monuments historiques tels que la Tour Eiffel, Notre-Dame, le musée du Louvre…

Dans les rues de la capitale, j’ai rencontré trois femmes qui tenaient une conversation en chinois dont je n’ai pas saisi un seul mot.

 

Puis j’ai voyagé vers l’Est, et j’ai aperçu une maison dont la terrasse était occupée par une chaise renversée – sans doute un coup de vent – et à côté, une corde enroulée en spirale – dont l’utilité m’échappait.

 

Je suis allée dans la campagne bretonne – en train – où j’ai contemplé de magnifiques paysages boisés.

 

Voilà comment s’est déroulé mon voyage.

 

 

Emma L, 4C _ 2012

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 19:50

fureur-des-mots-college--2-

Le journal de mes vacances d’étés

Paris, 26 juillet 2012

 

 Aujourd’hui c’est mon anniversaire. Toute ma famille est venue : mes oncles, mes tantes, mes grands-parents, mes cousins,… Mais il y a une personne à qui je tiens beaucoup qui n’a pas eu la possibilité de se joindre à nous (son métier l’en empêchait) : c’est ma marraine, Florence.

Elle habite dans une région trop éloignée de Paris : le Finistère, en Bretagne. C’est une merveilleuse contrée entourée de plages de sable fin. Mais elle m’a promis qu’elle viendrait bientôt nous voir. Après le repas j’ai soufflé mes treize ans sur un énorme gâteau au chocolat.

Puis j’ai ouvert mes cadeaux : j’ai eu du parfum par ma grand-mère, des bijoux par mon oncle et plein d’autres encore. C’est alors que j’ai aperçu une enveloppe mauve glissée entre deux paquets. C’était une lettre de ma marraine, elle nous invitait à passer tout le mois d’août en Bretagne. J’ai sauté de joie.

 

Dans le train, le 30 Juillet 2012

Nous partons pour Carhaix où ma marraine nous attend à la gare. Elle tenait dans une main son sac rouge préféré, (que j’adore d’ailleurs) et de l’autre elle nous faisait  un grand coucou. J’ai passé tout mon temps collée à la vitre du taxi à admirer la campagne et les champs de blé qui défilaient sous mon nez. Dix minutes plus tard, nous arrivions devant une charmante maison avec une étrange corde enroulée près de la porte d’entrée, et une chaise sans doute renversée par le vent.

Carhaix 30 Août 2012

 Nous avons passé nos journées à la plage et à faire du shopping. Mais dans cinq jours c’est la rentrée !

Leïla, 4C, 2012

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 19:40

                     

fureur-des-mots-college--2-

 L’école étant enfin terminée, c’était ce grand jour. Celui où je partais en voyage ! Cette année là, nous avions choisi comme destination Biarritz. Je n’étais encore jamais partie aussi loin et j’avais hâte d’être arrivée. Mes parents et moi-même montâmes dans le T.G.V qui devait nous conduire là-bas. L’intérieur était luxueux mais sombre malgré les nombreuses lumières qui ornaient les murs. Je passais le trajet sur l’un des fauteuils bleu nuit et malgré les magazines présents dans mon sac, je préférais regarder défiler la campagne par la fenêtre. Puis nous arrivâmes à la gare où nous prîmes un taxi jusqu’à notre hôtel. Nous y déposâmes nos bagages et sortîmes nous balader en ville.

Dehors la foule était dense. Le soleil était tellement éblouissant que j’avais du mal à lever les yeux. Ainsi, je me concentrais sur les pieds des gens qui trépignaient et bavardaient devant les boutiques les plus populaires d’où s’échappait une odeur de vacances. Devant leur porte – et j’ignorais encore pourquoi- certains habitants avaient déposé des cordes et des chaises, d’ailleurs certaines d’entre elle avaient été renversées par je ne sais quel passant irrespectueux, ou par le vent…mais cette suggestion me semblait moins plausible étant donné le temps magnifique qui régnait depuis mon arrivée. A force d’observer la rue, je n’avais même pas remarqué le spectacle magnifique qui s’étendait à perte de vue. étant enfin terminée, c’était ce grand jour. Celui où je partais en voyage ! Cette année là, nous avions choisi comme destination Biarritz. Je n’étais encore jamais partie aussi loin et j’avais hâte d’être arrivée. Mes parents et moi-même montâmes dans le T.G.V qui devait nous conduire là-bas. L’intérieur était luxueux mais sombre malgré les nombreuses lumières qui ornaient les murs. Je passais le trajet sur l’un des fauteuils bleu nuit et malgré les magazines présents dans mon sac, je préférais regarder défiler la campagne par la fenêtre. Puis nous arrivâmes à la gare où nous prîmes un taxi jusqu’à notre hôtel. Nous y déposâmes nos bagages et sortîmes nous balader en ville.

Alors je levais les yeux vers ce véritable paysage de carte postale. Cette plage était somptueuse ! Le sable était si fin, la mer si bleue et le soleil si rayonnant que tout cela avait l’air irréel.

Ce furent mes plus belles vacances.

Margaux, 4C, 2012

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